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Ulcère de l'estomac : symptômes, causes et traitements naturels

Ce qu'il faut retenir
L'ulcère de l’estomac, causé principalement par H. pylori, se soigne efficacement avec un traitement médical adapté et des mesures naturelles complémentaires.
Ulcère de l'estomac : symptômes, causes et traitements naturels
Publié le 27/08/2025 - Temps de lecture 13 min

L'ulcère de l’estomac touche près de 10% de la population au cours de leur vie. Cette affection, autrefois mal comprise, était attribuée au stress et à l'alimentation épicée. Aujourd'hui, la science a compris les véritables causes de l’ulcère et elle a mis en place des traitements très efficaces. Vous ressentez des douleurs d'estomac persistantes ? Voici comment reconnaître les symptômes de l’ulcère de l’estomac et en guérir.

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Qu'est-ce qu'un ulcère gastroduodénal ?

Définition : une plaie profonde dans la paroi de l'estomac ou du duodénum

Un ulcère gastroduodénal (ulcère de l’estomac) est une érosion profonde qui traverse la muqueuse protectrice de l'estomac ou du duodénum (première partie de l'intestin grêle). Il ne s’agit pas d’une simple irritation superficielle, mais d’une sorte de trou creusé dans la paroi digestive pouvant atteindre plusieurs millimètres de profondeur.

L’ulcère de l’estomac vient d’un déséquilibre entre les facteurs agressifs (acidité gastrique, enzymes digestives) et les mécanismes de protection naturels de votre muqueuse. En effet, si vos défenses s'affaiblissent ou que l'agression augmente, l'ulcère se forme peu à peu.

Le saviez-vous ?
L'incidence des ulcères duodénaux, autrefois plus fréquente, est en déclin constant dans la population occidentale, tandis que celle des ulcères gastriques tend à rester stable. Les spécialistes prévoient qu'à terme, les ulcères d'estomac deviendront plus courants que les ulcères duodénaux, un phénomène qui rappelle le début du siècle dernier. [1]

La différence avec la gastrite

Si vous avez des troubles gastriques, il peut être normal de confondre les symptômes de l’ulcère et de la gastrite. Pourtant, ces deux affections sont bien distinctes. [2]

  • La gastrite est une inflammation superficielle de la muqueuse gastrique, sans perte de substance. Elle provoque des symptômes comparables à ceux de l’ulcère mais elle est généralement moins grave.

  • L'ulcère induit une perte de substance avec la formation d'un trou profond dans la paroi de l’estomac. Il peut engendrer d’importantes douleurs localisées qui se calment avec l’alimentation.

Cette différence entre la gastrite et l’ulcère de l’estomac explique pourquoi l'ulcère nécessite un traitement plus long et un suivi médical plus rapproché pour éviter les complications.

Il faut tout de même savoir que la cause de l’une ou l’autre de ces affections peut être commune. Vous pouvez, par exemple, entre autres, souffrir d’une gastrite ou d’un ulcère à cause de la bactérie H. Pylori.

Quels sont les symptômes d'un ulcère ?

La douleur typique : une crampe ou une faim douloureuse souvent calmée en mangeant

Le symptôme de l'ulcère le plus caractéristique et courant est une douleur épigastrique (au creux de l'estomac) très particulière.

Vous pensez avoir un ulcère ? Surveillez votre douleur à l'estomac et regardez si vous rentrez dans les critères suivants :

  • La douleur de l’ulcère de l’estomac provoque comme des sensations de crampes ou de faim douloureuse ;

  • Souvent, cette douleur se calme temporairement après avoir mangé ;

  • La douleur s’éveille d’autant plus la nuit vers 2 ou 3h du matin ;

  • La douleur d’ulcère est épisodique avec des alternances entre périodes de plusieurs semaines douloureuses et semaines d’accalmie.

Vous vous demandez pourquoi cette douleur est moins intense après un repas ? Il faut comprendre que la plaie d’un ulcère est douloureuse lorsque cette dernière est en contact avec l’acidité gastrique.

Quand vous mangez, l’alimentation vient neutraliser cette acidité pendant quelques heures. Elle stimule la production de mucus protecteur et apporte donc un soulagement passager. [3]


Les autres signes digestifs : nausées, digestion difficile, perte de poids

La douleur typique de l’ulcère peut être accompagnée d’autres symptômes, surtout sur le plan digestif. [4]

En cas d’ulcère, vous pouvez donc ressentir également les symptômes suivants :

  • Des nausées, particulièrement si vous êtes à jeun ;

  • Une sensation de satiété qui arrive très rapidement après avoir commencé à manger ;

  • Des ballonnements après les repas ;

  • Des éructations fréquentes ;

  • Une perte d'appétit progressive ;

  • Une perte de poids involontaire ;

  • Une sensation de fatigue chronique ;

  • Il est aussi possible que vous ayez la sensation d’avoir une mauvaise haleine malgré une bonne hygiène dentaire.

Tous ces symptômes traduisent l'inflammation locale et les perturbations de votre processus digestif normal.

Les signes de complication et quand consulter en urgence

Certains symptômes doivent vous alerter sur une complication grave. [5] Si vous ressentez les symptômes suivants, veillez donc à vous rendre à l’hôpital rapidement ;

  • Vous vomissez du sang (hématémèse) ou un liquide avec un aspect de « marc de café » ;

  • Vos selles sont noires et malodorantes (méléna) ;

  • La douleur abdominale est brutale et intense ;

  • Vous faites un malaise avec pâleur et sueurs froides ;

  • Votre fièvre est élevée.

Ces symptômes peuvent évoquer la présence d’une hémorragie digestive ou celle d’une perforation de l’estomac. Ils nécessitent une prise en charge hospitalière immédiate car les complications peuvent être potentiellement mortelles. Au moindre doute, n’attendez pas pour vous rendre aux urgences.

Quelles sont les causes réelles d'un ulcère ?

L'infection à Helicobacter pylori : la cause dans 80% des cas

Helicobacter pylori fut découvert en 1982 par Barry Marshall et Robin Warren (Prix Nobel de médecine 2005). Elle marque un tournant révolutionnaire dans la compréhension et la prise en charge des ulcères.

C’est quoi Helicobacter pylori? Il s’agit d’une bactérie qui colonise votre estomac et neutralise l'acidité gastrique grâce à une enzyme spécifique appelée l'uréase.

Voici comment fonctionne Helicobacter pylori :

  • Elle s'implante dans votre muqueuse gastrique ;

  • Elle produit des toxines inflammatoires ;

  • L'inflammation chronique fragilise alors vos défenses naturelles ;

  • L'ulcération se développe petit à petit.

D'après une grande étude prospective publiée sur PubMed, l'infection par des souches de H. pylori exprimant la cytotoxine cagA est associée à un risque fortement accru d'ulcère. L'étude a révélé un risque 18,4 fois plus élevé d'ulcère duodénal et 2,9 fois plus élevé d'ulcère gastrique chez les personnes infectées par ces souches. [6]

La prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens


L’autre cause possible d’un ulcère de l’estomac est la prise d’AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), surtout chez les personnes âgées. Ces médicaments ont, en effet, l’inconvénient d’inhiber la cyclo-oxygénase, une enzyme essentielle à la production de prostaglandines protectrices. [7]

Facteurs de risque majorés :

  • Vous avez plus de 65 ans ;
  • Vous avez un antécédent d'ulcère ou de saignement digestif ;
  • Vous prenez des AINS avec des anticoagulants ;
  • Les doses d’anti-inflammatoires que vous prenez sont importantes ou votre traitement dure depuis plusieurs mois ou années ;
  • Vous associez plusieurs AINS.

Même les AINS dits sélectifs (coxibs) peuvent favoriser l’apparition d’un ulcère, même si le risque est un peu moins élevé.

Le rôle du stress et du tabac

Vous avez peut-être déjà entendu dire que les personnes qui souffrent d’ulcère sont très stressées. En réalité, le stress ne cause pas directement l'ulcère. Il peut toutefois favoriser l'apparition et retarder la cicatrisation de ce dernier. [8]

Voici ce qu’un stress chronique peut provoquer dans l’organisme :

  • Une augmentation de la sécrétion d'acide gastrique ;

  • Une diminution de la production de mucus protecteur ;

  • Une perturbation de la vascularisation de la muqueuse ;

  • Un affaiblissement des défenses immunitaires locales.

Quant au tabagisme, il est clairement un facteur aggravant puisqu’il :

  • Retarde la cicatrisation ulcéreuse de 50% ;

  • Augmente le risque de récidive ;

  • Favorise les complications hémorragiques ;

  • Diminue l'efficacité des traitements.

Comment le diagnostic d'un ulcère est-il posé ?

L'endoscopie : l'examen indispensable pour visualiser et biopsier l'ulcère

La fibroscopie œso-gastro-duodénale est l'examen de référence si vous voulez savoir si vous avez un ulcère. [9]

Cet examen peut être réalisé sous anesthésie locale ou générale légère. Il permet de visualiser directement la présence d’un ou plusieurs ulcères, leur taille et leur profondeur. Grâce à la fibroscopie, il est également possible de voir s’il y a eu des saignements récents et de voir l’aspect des berges (régulières ou irrégulières).

Au cours de cet examen, il est aussi réalisé des prélèvements :

  • Les biopsies permettent d’exclure une origine maligne ;

  • Les fragments prélevés permettent de rechercher la présence d'H. pylori.

Enfin, grâce à l'endoscopie, les médecins peuvent évaluer la cicatrisation après un traitement et dépister d'éventuelles complications.

La recherche de la bactérie H. pylori

Le test respiratoire pour détecter Helicobacter Pylori

Si vous préférez éviter la fibroscopie pour savoir si vous êtes infecté par H. pylori, rassurez-vous : il existe des méthodes moins invasives. Sur prescription médicale, votre médecin ou votre gastro-entérologue peut vous proposer un test respiratoire à faire en laboratoire.

Ce test est simple et fiable. Il consiste à souffler dans un appareil après avoir ingéré une substance contenant de l’urée marquée au carbone. Si la bactérie est présente dans votre estomac, elle décompose cette urée et libère du carbone que le test détecte dans votre respiration.

C’est une manière rapide, indolore et fiable de savoir si H. pylori est à l’origine de vos symptômes, sans avoir besoin de passer par l’endoscopie.

La prise de sang et recherche d’antigènes dans les selles

La sérologie consiste à rechercher la présence d’anticorps dirigés contre H. pylori dans le sang. Elle va montrer si votre organisme a déjà été exposé à la bactérie, même si elle n’est plus active. C’est un test simple, rapide et souvent utilisé en première intention.

On peut aussi rechercher les antigènes de la bactérie dans les selles. Ce test est pratique, indolore et peut être réalisé à domicile grâce à un kit fourni par le laboratoire. Il est particulièrement utile pour vérifier l’efficacité d’un traitement.

Tests invasifs (lors de l'endoscopie) :

  • Le test à l’uréase rapide sur biopsie permet de détecter très rapidement la bactérie directement sur un petit prélèvement de votre muqueuse gastrique. Le résultat est souvent disponible en moins d’une heure.

  • L’examen histologique, lui, consiste à observer les prélèvements au microscope pour confirmer la présence de H. pylori et l’état de votre muqueuse. Il va permettre d’exclure d’autres maladies comme un ulcère malin.

  • Enfin, la culture bactérienne est parfois plus rarement réalisée. Elle permet d’identifier précisément la bactérie et de tester sa sensibilité aux antibiotiques.

Le choix de la méthode de dépistage dépend du contexte clinique et de la disponibilité des examens.

Quel traitement pour soigner et cicatriser un ulcère ?

Contrairement à il y a encore quelques années, la médecine ne se contente plus de traiter seulement la douleur de l’ulcère. Non, le traitement moderne de l’ulcère de l’estomac consiste désormais à éliminer la cause identifiée de votre ulcère.

Les médecins vont donc d’abord rechercher la cause de l’ulcère pour savoir comment agir en priorité.

En trouvant pourquoi vous avez une plaie dans votre estomac ou dans le duodénum, il sera plus facile de traiter l’ulcère et d’éviter une récidive.

Trithérapie pour éradiquer H. pylori

Si votre ulcère est dû à la bactérie Helicobacter pylori :
Trithérapie standard pendant 10 à 14 jours avec la prise d’un inhibiteur de la pompe à protons (IPP) à double dose pour réduire l’acidité gastrique et protéger la muqueuse.

Prise associée avec deux antibiotiques, généralement amoxicilline + clarithromycine ou métronidazole, pour tuer la bactérie.

Ce traitement de l’ulcère dû à H.pylori offre une guérison définitive dans 85 à 90% des cas, avec un taux de récidive très faible (moins de 5%).

En parallèle, il est important de suivre correctement votre traitement et de faire un contrôle après quelques semaines pour s’assurer de l’éradication complète de la bactérie.

Arrêt ou limitation des AINS

En revanche, si la cause de votre ulcère est la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, la mesure la plus efficace est d’arrêter ces médicaments si cela est possible. Votre médecin va donc vous conseiller en fonction de votre état de santé.

Si la prise d’AINS est indispensable parce que vous avez une ou plusieurs autres pathologies (arthrose, douleurs chroniques…), plusieurs précautions peuvent être mises en place :

  • Prescription d’un IPP en protection, pour limiter l’agression de la muqueuse par l’acide.

  • Choix d’un AINS considéré comme moins ulcérogène, comme certains inhibiteurs sélectifs de COX-2, si approprié.

  • Surveillance endoscopique régulière pour contrôler la cicatrisation et détecter rapidement toute complication éventuelle.

Si votre traitement d’AINS est non indispensable, il faudra les arrêter pour guérir votre ulcère.

Les médicaments pour bloquer l'acidité et permettre la cicatrisation

Pour soigner un ulcère, il est indispensable de réduire l’acidité de l’estomac pour que votre muqueuse puisse cicatriser.

Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) comme l’oméprazole, le lansoprazole ou le pantoprazole sont les médicaments les plus utilisés. Ils agissent directement en bloquant la production d’acide gastrique, ce qui protège la plaie et favorise sa guérison. Grâce aux IPP, 80% à 100% des ulcères guérissent en 4 à 8 semaines. [10]

En plus d’améliorer la cicatrisation, les IPP vont rapidement soulager vos douleurs d’ulcère. Ils peuvent même prévenir les récidives si vous les prenez sur le long terme (souvent recommandés pour les personnes avec des facteurs de risque persistants).

La posologie habituelle des IPP est de 20 à 40 mg par jour, à prendre le matin à jeun, environ 30 minutes avant votre petit-déjeuner. Cette manière de les prendre optimise leur efficacité, car l’action de l’IPP est plus puissante lorsque l’estomac commence à produire de l’acide après le repas.
Vous ne tolérez pas les IPP ?
Il existe aussi d’autres traitements possibles comme les antagonistes des récepteurs H2 (la ranitidine ou la famotidine). Ces médicaments sont moins puissants, certes, mais ils peuvent agir sur la diminution de l’acidité.

La gestion des complications hémorragiques ou perforantes

Même s’il s’agit de cas rares, sachez que l’ulcère peut se compliquer gravement et nécessiter une hospitalisation immédiate. Les principales complications sont l’hémorragie ou la perforation. Elles touchent environ 10% à 20% des patients et peuvent mettre en jeu le pronostic vital.[11]

Hémorragie digestive

L’hémorragie digestive est une complication de l’ulcère caractérisée par des selles très noires et malodorantes ou des vomissements de sang. Elle nécessite une endoscopie thérapeutique d’urgence pour stopper le saignement ou dans certains cas l’utilisation de produits hémostatiques injectables ou encore le laser pour cautériser la zone touchée.

Perforation

La perforation de l’estomac ou du duodénum est une autre complication grave, souvent accompagnée d’une douleur abdominale subite et intense. Elle doit être rapidement traitée par une intervention chirurgicale pour suturer la plaie et faire un lavage du péritoine. Elle est suivie d’une antibiothérapie pour prévenir la péritonite.

Alimentation et hygiène de vie : que faire pour aider la cicatrisation ?

L’alimentation et l’hygiène de vie sont très importantes pour guérir d’un ulcère. Toutes deux viennent en soutien du traitement médicamenteux et permettent aussi d’éviter la récidive.

La liste des aliments à privilégier pour ne pas irriter la muqueuse

Aliments recommandés pour cicatriser un ulcère :

  • Céréales complètes : l’avoine, le riz complet ou le quinoa apportent des fibres douces qui facilitent la digestion sans irriter l’estomac ;

  • Légumes cuits : courgettes, carottes, brocolis ou épinards cuits sont plus digestes que crus et apportent vitamines et minéraux nécessaires à la réparation tissulaire ;

  • Fruits non acides : bananes, pommes cuites ou poires sont doux pour l’estomac et aident à maintenir un apport vitaminique équilibré ;

  • Protéines maigres : poisson blanc, volaille et œufs fournissent les éléments essentiels pour la régénération des tissus ;

  • Produits laitiers : yaourts nature et fromage blanc apportent du calcium et pour les yaourts, des probiotiques bénéfiques pour la flore digestive.

Il est également recommandé d’intégrer des probiotiques sous forme de compléments alimentaires pour soutenir la récupération de votre flore digestive, surtout si vous avez reçu un traitement antibiotique pour éradiquer H. pylori.

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Maria D.

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La liste des aliments et boissons à éviter absolument

À limiter ou éviter temporairement pour ne pas irriter la muqueuse et retarder la guérison :

  • Épices fortes : piment, poivre noir, curry et autres condiments piquants ;

  • Aliments acides : agrumes, tomates, vinaigre et sauces acides ;

  • Boissons irritantes : café, thé fort, sodas sucrés ou boissons gazeuses ;

  • Alcool sous toutes ses formes, car il favorise l’inflammation ;

  • Aliments frits ou très gras, car ils ralentissent la digestion et stimulent la production d’acide.

L'importance d'arrêter le tabac pour favoriser la guérison

Le tabac a un impact direct sur la guérison des ulcères. Il peut non seulement retarder la cicatrisation de 2 à 3 semaines, laissant la muqueuse vulnérable plus longtemps, mais il double le risque de faire une récidive. En effet, la nicotine et les substances toxiques fragilisent votre estomac. En arrêtant de fumer, vous avez plus de chances de voir l’efficacité des traitements proposés et de guérir de votre ulcère.

Conclusion

Pour guérir d’un ulcère, il faut commencer par enidentifier la cause (prise d’AINS, bactérie H.Pylori, mauvaise alimentation, etc.). Il vous sera ensuite proposé un traitement médicamenteux adapté avec des recommandations sur l’alimentation et l’hygiène de vie (stress, tabac, etc.). C’est en combinant méthodes naturelles, traitements et soins que vous pourrez guérir durablement et éviter les récidives.

Références :
[5]

Upper Gastrointestinal Bleeding

[6]

Helicobacter pylori infection is strongly associated with gastric and duodenal ulcers in a large prospective study

[7]

The epidemiology of nonsteroidal anti-inflammatory drugs

[8]

Psychological stress increases risk for peptic ulcer, regardless of Helicobacter pylori infection or use of nonsteroidal anti-inflammatory drugs

[9]

Upper gastrointestinal findings and incidence of Helicobacter pylori infection among Nigerian patients with dyspepsia

[10]

Peptic Ulcer Disease: A Review

[11]

Perforated and bleeding peptic ulcer: WSES guidelines

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